News

Très Court 2022 : l’appel à films est ouvert !

Pourquoi faire long quand on peut faire Très Court ?

 

Pour sa 24e édition qui se déroulera du 3 au 12 juin 2022, nous attendons tous vos films de moins de 4 minutes. Jeunes et moins jeunes, étudiant·es en école de cinéma ou néophytes cinéphiles, cinéastes aguerris, génies de la caméra, envoyez-nous vos œuvres avant le 13 février 2022.

Pour vous inscrire, il vous suffit de remplir ce formulaire. Contrairement à de nombreux festivals, l’inscription est gratuite. Vous pouvez déposer autant de films que vous le souhaitez, peu importe le genre, le style, les moyens, le sujet. Seule contrainte : la durée. Ainsi, vous vous donnez une chance d’être sélectionné·es parmi les 130 films présentés lors du Très Court International Festival diffusé partout dans le monde et de remporter l’un de nos Prix.

Ce n'est pas tout : cette année, nous allons renforcer et élargir le dispositif l’Instant Très Court, notre réseau de salles en France qui propose, chaque semaine, un Très Court en avant-séance. Si votre film est sélectionné, il s'offrira aussi la possibilité d'être découvert sur les grands écrans de nos salles partenaires. N'attendez plus, tentez votre chance !

NB : Si vous avez des doutes, n'hésitez pas à consulter notre FAQ :)

Défi 48h Très Court Environnement : les 19 finalistes

Elles étaient 78 à s'incrire pour notre Défi 48h Très Court Environnement, 70 à être allées jusqu'au bout du challenge... et 19 à être sélectionnées in fine : découvrez dès à présent les équipes qui nous ont fait rêver.

carte

Le choix fut rude : sur les 70 Très Courts reçus le dimanche 6 juin à 19h, une grosse majorité d'entre eux était indéniablement de très bonne qualité. Tous ont, plus ou moins, respecté le thème qui était, cette année, la loi du plus faible, et réussi à placer un glaçon, à évoquer ou filmer un enfant de moins de dix ans et à prononcer la phrase "Nionécotidoïdes, nénicotides… C’est imprononçable ! Rien que pour ça il faut les interdire". Nous tenons donc à remercier toutes les équipes qui ont scénarisé, tourné, sué pendant deux jours, et qui nous ont fait rêver.

Sans plus attendre, voici les 19 finalistes du Défi 48h Très Court Environnement de cette année exceptionnelle :

carte

À tes murmures de Étienne Laillet
À travers ses yeux de Michael Marciano
Acide de Sylvain Woussen, Valentin Sillard
Autour d'une grenadine de Lola Penicaud, Eva Navaux, Rémy Schaepman
Éco-Crimes de Sébastien Maufroy, Valentine Marou
Ilalouha de David Lorieux
L'interview de Cyril Pinero, Antoine Lermigny
La dernière de Timothé Costa
La Ronce de Alexandre Mottart
Le Dégivre de Léocadie Manin, Nicolas Wattelle, Florian Le Paul, Emilio Maggi, William Delbegue, Antoine Bendimerad, Paul Bichara, Baptiste Desmure, Pierre-Yves Rossetti, Eloi Buffet, Maxime Rousselet, Victor Barreau
Lucien de Matteo Perrin
Nage libre de Julien Aveque, Victor Hérault
Nuisible de Paul Raillard
Point d'envie de Jonathan Tschaen, Anaïs Driano
Racines de Du Manoir Alexis, Joseph Zins, Augustin Guigou
Sinon j'viens pas de Camille Thibaud
Un deux trois Soleil de 7ème Vague, Elena Hübsch, Vini Geretto, Léo-Paul Joseph, Manon Imbert, Loïc Picaud, Vincent JelineK
Un produit efficace de Studio Vert Basilic SVB
Vanadis de Wolfgang Korwin

Une projection inédite de cette sélection d'une durée d'1h10 a lieu ce dimanche 13 juin à 17h au cinéma les 7 Parnassiens à Paris. Cette projection est suivie par celle de la Compétition Internationale, le programme phare du festival, à 18h30. La soirée se conclut par la Cérémonie de remise des Prix du Défi 48h Très Court Environnement, de la Compétition Internationale et de la Compétition Paroles de femmes à 21h, à la suite des deux projections.

Pour réservez vos places, rendez-vous sur la billeterie en ligne du cinéma les 7 Parnassiens.

La cérémonie sera également retransmise en direct live sur le site Imago TV à 21h. A la fin de la cérémonie et jusqu’au 20 juin 2021, vous pourrez retrouver les 19 films finalistes du Défi 48h sur le site Imago TV, puis sur notre site www.trescourt.com.  

23e édition du Très Court : c’est parti !

Organiser un festival de cinéma international par temps de pandémie, croyez-nous, ce n'est pas de la tarte !

 

C'est pourtant ce qu'a réussi à faire l'équipe du Très Court. Eh oui, contre vents, marées et virus, la 23e édition aura bien lieu du 4 au 13 juin prochain dans une soixantaine de villes réparties sur les 5 continents.
 
L'équipe a également réussi à mettre sur pied leur Défi 48h Très Court Environnement, un challenge cinématographique et citoyen qui consiste, pour les candidat·es, à réaliser un film de moins de 4 minutes en 48h seulement, sur un sujet lié à l'environnement. Le top départ est fixé le vendredi 4 juin à 19h tapantes.

Ce sont donc près de 140 films de moins de quatre minutes venus du monde entier qui ont été sélectionnés pour composer les 6 sélections du festival. La vingtaine de films finalistes du Défi 48h Très Court Environnement viendra compléter cette liste dès le mardi 8 juin à 18h.

Et, pour vous mettre l’eau à la bouche, voici notre bande-annonce !

Toutes les dates de projections, les informations et les accès en ligne sont à retrouver sur le programme de chaque ville.

La Cérémonie de remise des Prix, quant à elle, aura lieu le dimanche 13 juin à 21h au cinéma les 7 Parnassiens à Paris et elle sera retransmise en direct sur le site de notre partenaire Imago TV. Elle aura lieu suite aux projections publiques des films finalistes du Défi 48h Très Court Environnement à 17h ainsi que de la Compétition Internationale à 18h30.

Les autres sélections du Très Court – Ils ont osé, Documentaire, Française, Familiale, et la Compétition Paroles de Femmes – seront accessibles du 4 au 13 juin depuis la page parisienne avec le code à retrouver sur le site de la Ville de Paris !

8 mars : la parole est aux femmes

Il y a de nombreuses façons de défendre le Droit des femmes : à travers l’action politique, la vie associative, les manifestations, la sensibilisation, la journée internationale du 8 mars bien sûr mais aussi à travers le regard artistique et notamment cinématographique.

 

C’est pourquoi, depuis douze ans maintenant, le Très Court International Film Festival, qui met à l’honneur les films de moins de quatre minutes venus du monde entier, sélectionne, diffuse et récompense les meilleurs courts métrages qui interrogent la place des femmes dans nos sociétés. Et pas seulement le 8 mars :)

Ce format Très Court est justement taillé pour aller à l’essentiel et proposer, à travers ces films, un regard féminin sur notre monde, ses défauts, ses qualités, un regard juste et sensible, un regard acéré. Et nous en avons grand besoin ! Quelques-uns de ces films sont réunis sur notre plateforme Paroles de femmes que vous pouvez consulter à l’envi.

En juin, à l’heure du festival, nous proposerons une nouvelle sélection d’une vingtaine de Très Courts réunis dans notre compétition Paroles de femmes. Notre jury 100% féminin, composé de déléguées du Ministère en charge de l’égalité entre les femmes et les hommes ainsi que de militantes, décernera le Prix du Droit des femmes. En attendant, nous vous invitons à découvrir quatre Très Courts primés ces dernières années, à voir sur notre page Facebook ou sur notre chaîne YouTube.

Au programme :

Recursos humanos - Joan Alvarez Llados (Espagne)
Prix du Droit des Femmes – 15e édition – 2013
Un exemple d'entretien d'embauche à ne pas suivre.

To London – Alberto Gallego Ortiz (Espagne)
Prix du Droit des Femmes – 16e édition – 2014
Entre une mère et une fille, une histoire particulièrement touchante.

Je suis le machisme ordinaire – Fabrice Roulliat (France)
Prix du Droit des Femmes - 18e édition – 2016
Même à l'école, les préjugés ont la vie dure.

Not a pizza order – Cécile Ragot (France)
Prix du Droit des Femmes – 19e édition - 2017
Un appel d’urgence au 911 (secours américains) témoigne de la complexité de certains cas sensibles.

 

Chronique des Très Courtois·es

Comment se prépare un festival de cinéma en temps de pandémie ? Dans la joie et la bonne humeur. D’abord parce que juin, c’est loin, et d’ici là les bars, les restaurants, les musées, les salles de ciné, de théâtre, de danse accueilleront de nouveau leur public chéri (pensée positive) mais surtout parce que travailler autour de films de moins de quatre minutes venus du monde entier, c’est un vrai bonheur.

 

Cela dit, concrètement, à quoi ressemble le quotidien des deux coordonnatrices du festival, Anne-Sophie et Cheyenne ? Voici le déroulé d’une journée Très Court (ou plutôt Très Longue).  

8h. Pendant qu’Anne-Sophie lit ses mails depuis chez elle, Cheyenne, également baby-sitter à ses heures perdues, emmène les enfants à l’école. Puis direction le bureau hyper lumineux du Point H^ut situé dans l’agglomération de Tours. Si la base arrière du festival est toujours dans le 20e arrondissement de Paris, le QG est basé cette année en bord de Loire, parce que c’est joli.  

9h. Anne-Sophie arrive tout en en douceur dans sa Modus déjà triplement sortie de chez le garagiste, et Cheyenne galère sur son vélo, bravant la petite pluie fine brumeuse typique de l’hiver tourangeau.

9h10. Passage par le grand hall du Point H^ut où des artistes en résidence répètent leur prochain spectacle. Des massues volent, des feux d’artifice explosent, des comédiens s’échauffent, des musiciens affûtent leur instrument, le tout sous les yeux ébahis des deux coordinatrices qui se régalent avant de rejoindre leur bureau. A l’ordre du jour : envoi de mails, coup de téléphone, visioconférence pour présenter le Festival aux villes du monde entier (et y en a beaucoup).

10h30. Echange sur Discord avec Paul, le grand chef de la technique, et Marc, le directeur et fondateur du Très Court. Le premier est resté à Paris (dis, quand est-ce que tu nous rejoins, Paul ?) tandis que le second s’est installé cet été à Die, dans la Drôme. Ce qui nous fait un ParisToursDie rigolo.

11h30. Séance photo autour des bonbons nounours bio engagés cette année pour être les acteurs des visuels du festival essaimés ici ou là. Les nounours sont très pros : ils se laissent manipuler facilement, et acceptent même d’être engloutis à l’occasion.

12h30. L’heure du repas tant attendue autour d’une grande tablée (très féminine) avec les équipes du Polau (Pôle Arts et urbanisme), des urbanistes, des architectes, des designeuses, des créateurs de jeu de société… On parle surtout recettes de cuisine, travaux en cours, et un peu de la Covid, faut bien l’avouer.

13h30. Un café, et au boulot. Cheyenne prépare les prochains posts pour Instagram tandis qu’Anne-Sophie cogite sur le développement de notre plateforme Paroles de Femmes et commence à organiser notre Défi 48h Très Court environnement.

14h30. Les deux coordinatrices se mettent à rêver au prochain jury du festival et au nom de la prochaine présidente (Maïwenn ? Agnès Jaoui ? Julia Ducournau ? Blanche Gardin ?) avec des paillettes dans les yeux (ça pique un peu).

15h. Tandis que Cheyenne boit son 10e café de la journée, Anne-So, elle, fume sa 10e cigarette. C’est mal, mais ça redonne de l’énergie.
    
16h. Anne-Sophie est si concentrée sur son ordinateur qu’elle appuie sur les touches de son clavier avec beaucoup de fureur et d’intensité. Cheyenne, quant à elle, répond aux mails envoyés par les nombreux réalisateurs·rices nigérian·es qui souhaitent participer au festival mais qui n’en ont pas les moyens. Cheyenne se fait une joie de leur rappeler que l’inscription est gratuite, et qu’elle le restera.

 17h. Petite pause à regarder des films déjà inscrits. Ils sont un peu moins nombreux que l’an passé (la crise sanitaire est passée par là) mais entre 2 000 et 3 000 films attendent au portillon. Heureusement, une super équipe de pré-sélection est chargée de voir, noter et commenter les Très Courts. Spoiler : certains sont des pépites.

18h. La journée est terminée, voici venue l’heure pour Anne-Sophie et Cheyenne de rentrer chez elles et d’animer la visioconférence avec les membres de l’équipe de pré-sélection qui, à l’heure de l’apéro, viennent débattre autour des films en particulier, et de la vie en général.

Neuf films pour fêter la nouvelle année

Sans bruit, en coulisses, nous avions programmé une série de projections des meilleurs Très Court 2020 un peu partout dans le monde, de Chambray-lès-Tours au Panama, de Bastia à la Roumanie, du Canada à la Grèce, du Salvador à Saint-Paul-lès-Dax, tout simplement parce que nous avions envie de nous retrouver ensemble devant un grand écran et devant des films de moins quatre minutes qui réchauffent le cœur.

 

Et puis patatras. Tout a été annulé.

Tout ? Non. La force, la puissance, la justesse portées par les Très Courts sont loin d’être annulées. Au contraire. Plus que jamais, nous allons avoir besoin de fêtes, de joie, de cinéma, d’émotions. Plus que jamais, nous devons soutenir ceux et celles qui dénoncent les travers de ce monde mal en point, ceux et celles qui inventent d’autres récits et construisent des imaginaires qui sont autant d’alternatives. Plus que jamais, nous allons renforcer notre engagement sur deux sujets très importants à nos yeux : les Droits des femmes et l’urgence climatique.

Plus que jamais, nous allons partager.

Et ça commence dès maintenant avec un programme de Très Court à retrouver sur notre chaîne YouTube et notre compte Facebook :

  • 18 décembre : The Gallery Experience
    Une petite fille a une expérience magique en visitant une galerie avec son père pour la première fois. Un dessin animé venu des Etats-Unis et signé Jinghan Tian qui fait un écho à la fermeture actuelle des musées.
  • 20 décembre 2020 : Strength 
    Ce Très Court met en lumière la force féminine vue à travers l’objectif d’une haltérophile. Il est réalisé par deux Anglaises, Agathe Barbier et Hedvig Ahlberg.
  • 22 décembre 2020 : Collapsolove
    Anton se met à l'écologie pour séduire une collapsologue. Y parviendra-t-il ? Un Très Court français de Vincent Buschi et Camille Chaudron créé pour le Défi 48h - Environnement.
  • 24 décembre 2020 : Tu vas faire quoi ?
    Gédéon aime sa famille, il adore cuisiner, le repas devrait très bien se passer et pourtant... Un Très Court français de Lucie Benhamou et d'Arthur Fenwick.
  • 26 décembre 2020 : Trauma
    Une jeune femme subit une agression sexuelle dans le métro. Elle reste bouleversée, d’autant qu’une étrange créature la surveille. Un Très Court français de Vladimir Roszak.
  • 28 décembre 2020 : The Turning point
    Ce Très Court anglais, réalisé par Steve Cutts, explore la destruction de l’environnement, le changement climatique et l’extinction des espèces sous un angle différent.
  • 30 décembre 2020 : Rien à sauver
    Un survivaliste tombe en panne. Pas de bol, il va falloir que quelqu'un l'aide. Un Très Court réalisé par les Français Julien Aveque et Victor Hérault et créé pour le Défi 48h - Environnement.
  • 1er janvier 2021 : Métanoïa
    Un philosophe béninois parle de la violence et de l'amour. Un Très Court venu du Bénin et signé Luc Godonou Dossou.
  • 3 janvier 2021 : PERIOD.
    Les menstruations, parlons-en. Un Très Court danois réalisé par Émilie Thalund et produit par Brigitte Rask.  

Neuf films pour fêter la fin de cette année et saluer l’arrivée de la prochaine que nous vous souhaitons aussi douce qu’engagée.

Prochaine édition 2021 : viser l’horizon

On ne va pas se mentir : préparer la prochaine édition du Très Court International Film Festival dans ces conditions demande une grosse dose d’enthousiasme.

 

Une énergie décuplée.

S’adapter, s’assouplir.

Ne pas céder à la sinistrose.

Pour cela, nous avons trouvé une échappatoire : nous nous sommes réfugiés dans les éditions passées. Soit 22 années remplies d’œuvres cinématographiques de moins de quatre minutes qui ont ému, fait rire, touché, interrogé et parfois dérangé un public venu du monde entier. Chaque jour, au sein de l’équipe, on s’amuse à s’envoyer nos films préférés ou ceux qu’on avait oubliés et redécouverts, à l’occasion, avec émotion. Franchement, ça fait un bien fou. Ça nous donne surtout envie de partir à la recherche de nouvelles pépites pour vous les offrir du 4 au 13 juin prochain à travers nos cinq sélections : Internationale, Paroles de femmes, Française, Famille, Ils ont osé.

Pas question de baisser les bras. On y croit.

Le choix du visuel de la 23e édition en est la preuve. La photo, signée Ellen Kooi, exprime parfaitement notre état d’esprit : continuer à regarder au loin, porté par plus grand que soi, et si l’horizon n’est pas immédiatement perceptible, il est là.

Appel à films : à vos Très Courts !

Réalisateurs, réalisatrices, si vous pensez qu'une bonne histoire peut se raconter en moins de quatre minutes, titre et générique inclus, c’est le moment de la soumettre !

 

En effet, l’appel à films pour le prochain Très Court International Film Festival est ouvert. Pour s’inscrire, il vous suffit de remplir ce formulaire. L’inscription est gratuite, et vous pouvez déposer autant de films que vous le souhaitez.

L’appel à films se clôture le 14 février, ce qui vous laisse un peu de temps pour réaliser vos très courts métrages s’ils ne sont encore qu’à l’étape de projet. Surtout, lancez-vous : vous vous offrez une chance d’être retenu·e·s dans nos sélections en compétition – Internationale, Paroles de femmes – ou hors compétition – Française, Famille et Ils ont osé (les films trash et glamour). Et peut-être même de remporter l’un de nos cinq prix.

Les films seront visionnés par une trentaine de féru·e·s de cinéma qui ont pour point commun d’adorer les Très Courts, un format à sensation qui permet de passer du rire aux larmes toutes les 4 minutes. C’est également le format d’une génération, d’une époque où tout va vite, où les changements – climatiques, sociaux, technologiques – sont au cœur des réflexions et des questionnements. C’est enfin un format d’émergence, où les jeunes talents s’exercent, se découvrent et se lancent.

Une opportunité pour vous, réalisateurs et réalisatrices, d’être valorisés sur le grand écran auprès des spectateurs et professionnels du monde entier. Car le Très Court International Film Festival voyage sur les cinq continents ! De Hong Kong au Canada, du Chili à Paris, de la Roumanie à l’Espagne, le festival se déroule au mois de juin dans une dizaine de villes en France, 70 villes dans le monde, soit au total 20 pays représentés. L’an prochain, il aura lieu du 4 au 13 juin 2021.

Le concours durant le confinement

Les résultats de notre concours

 

Durant la période de confinement, l'équipe du Très Court a décidé de lancer un concours de courts-métrages pour promouvoir la création audiovisuelle en quarantaine. 
Parmi la centaine de films que nous avons reçu, nous avons sélectionné nos cinq coups de coeur qui seront promus sur notre site ainsi que sur nos réseaux sociaux ! 

  Falling Down, réalisé par Swann et Yoann Chesnel. 

  Tic Tac Toc, réalisé par François Lacassagne et Marion Le Bec.

  Comme Avant, réalisé par Julien Christophe. 

  Perséverance, réalisé par Fabien Lemoine.

  Les petits mouchoirs du troisième type, réalisé par Florent Sabatier.

 

Palmarès 22e édition

 

Le palmarès 2020

 

Le mardi 9 juin s'est déroulée la e-Cérémonie de remise des prix, exceptionnellement en ligne.
Les prix ont été attribués par les membres du Jury, les réalisateur.rice.s lauréats ont pu exprimer en direct leurs impressions  !
 

Le Grand Prix revient à

Housecall


de Josh Penn Soskin (Etats-Unis)

Le Prix de l'Originalité revient à

Symbiose

de Paul Raillard (France)

Le Prix de l'Animation revient à

Charlotte's Daydream

de Marlies Van der Wel (Pays-Bas)

Une mention spéciale est attribuée à

Lovers

de Alexandre Brisa (France)

Le Prix des Droits des Femmes revient au film

Strength

de Agathe Barbier et Hedvig Ahlberg (Royaume-Uni)
 

Voir des extraits

Le samedi 13 juin s'est déroulée la e-Cérémonie de la Compétition Défi 48h Très Court.
Les prix ont été attribués par les membres du Jury, les réalisateur.rice.s lauréats ont également pu exprimer en direct leurs impressions  !


Le Prix CNC Talent revient à

Des gens biens


de Pierre-André Lhomme (France)

La mention spéciale du Jury revient à

Rien à sauver

de Julien Aveque, Victor Hérault (France)

Le Prix Imago TV revient à

Collapsolove

de Vincent Bushi et Camille Chaudron (France)

Le Prix Upgreen TV revient à

Objectif

de Pierre Hillairet, Marine Habert (France)

 

Pages